Nicaragua

2 NUITS AU PARADIS


Depuis que nous sommes partis de France, et j’irai plus loin en disant depuis que nous sommes arrivés au Nicaragua, nous essayons de profiter un maximum de nos fins de semaine et vacances pour visiter. Nous avons déjà réussi à visiter pas mal de coins du pays. Nous le découvrons chaque jour un peu plus. Et c’est vrai que si je ne réussis pas à finaliser ma bucket-list, j’aurai bien avancé, et nous avons aussi fait de belles découvertes inattendues.

J’ai alors profité de ma semaine de vacances de Pâques, qui par ailleurs, est aussi ma dernière semaine de vacances avant cet été, pour faire cet endroit dont je rêve au plus profond de moi depuis tellement … une plage de sable blanc, aux eaux turquoises .

Retour sur mes 2 nuits au paradis, sur l’ile de Corn Island.


Des îles à part : Corn Island


Un peu de géographie


Corn Island, ou las Islas del Maiz, ou les Îles du maïs, ce sont 2 îles, situées dans la mer des Caraïbes, à l’est du Nicaragua.

Elles se trouvent à environ 75 km des côtes. Il y a donc 2 îles :

  • Big Corn Island, la plus grande des 2 des îles. On y compte environ 6700 habitants, principalement des métisses d’anciens esclaves africains et d’indiens caraïbes. L’ile est traversée par une route principale pavée de 12 km de long, où l’on peut facilement circuler en voitures ou en 2 roues.
  • Little Corn Island, la plus petite. Il n’y pas de route pavée, donc pas de voiture.

Bien que ces îles soient des îles du Nicaragua, la langue principale est l’anglais. Bien évidemment , l’espagnol est compris. Quant à la musique, vous pourrez y écouter principalement du reggae.

Ces îles sont vraiment un monde à part, où l’on trouve un Nicaragua tellement différent du Nicaragua continental. Vous vous sentirez presque en Jamaïque.


Comment s’y rendre



Pour se rendre sur Big Corn Island, il y a 2 moyens. Mais sachez que si vous voulez vous rendre sur Little Corn Island, vous devrez obligatoirement transiter par la grande île. Et de là, vous devrez prendre le ferry pour arriver sur la petite île.

  • Le ferry : Vous pouvez prendre le bateau à Bluefields, sur la côte Est du Nicaragua. Cependant, si vous partez de Managua, vous devrez traverser le pays d’Ouest en Est, soit environ 350 km. Mais n’oublions pas une chose, les routes du Nicaragua, ce ne sont pas les routes de France. Donc, pour faire quelques centaines de km, vous mettrez plusieurs heures. De plus, il nous a fortement été déconseillé de faire la route en voiture car suite à la crise du pays, les routes ne sont plus très sécuritaires.

Une fois à Bluefields, prenez le temps de prendre le pouls du Nicaragua, côté Caraïbes. Nous ne l’avons pas fait, mais de ce que nous avons entendu, on commence déjà à découvrir une nouvelle facette de ce pays. Et de là, vous prendrez le ferry jusqu’à Big Corn Island. Environ 70/75 km. Pour plus de renseignement pour le ferry , les horaires et les tarifs, allez sur le site :  https://vianica.com/sp/traveling/transportation/11-Ferry1.html

Le trajet est très peu onéreux, surtout si vous le faites sans véhicule (ce que je vous conseille, car vu la taille de l’île, prenez un taxi, un quad ou un vélo, c’est largement suffisant).

Par contre, si je peux donner un conseil … vivant au Nicaragua depuis plusieurs mois, et de plus, ayant déjà pris le Ferry pour une autre destination dont je vous parlerais dans un prochain article, c’est promis, préparez-vous à un voyage mouvementé. Tout d’abord, méfiez-vous des horaires indiqués, vous pourrez être surpris ! Vous pouvez arriver beaucoup plus tard que vous ne l’auriez prévu ! De plus, il faut savoir que les nicaraguayens ne se formalisent pas, contrairement à nous, aux règles de sécurité ou même de logique. Ainsi, par exemple, vous pouvez vous retrouver dans une lancha (que je n’ai pas vraiment envie de tester, je tiens à la vie looool), ou sur un bateau surpeuplé ! Et là, il n’y aura rien d’agréable à votre voyage (encore une fois, c’est l’expérience qui parle). Et une dernière chose, pour finir de vous mettre l’eau à la bouche, dites-vous que les nicaraguayens, et je crois les hispaniques en général, de ce que j’ai vu en tout cas, ne sont pas des gens discrets, ils ne parlent pas, ils crient, et l’éducation n’est pas du tout la même ! Si vous voulez comprendre ce qu’est l’enfant roi, celui à qui on dit oui à tout et qui a le droit de tout faire.

Malgré ce beau tableau que je viens de vous peindre, si vous êtes courageux, que vous avez peu de moyens, que vous avez du temps devant vous ou même, si vous voulez simplement tester, rencontrer des locaux et voyager à la locale, alors n’hésitez pas ! Cela fera de jolies histoires à raconter, drôles, mouvementées, et ça aussi, c’est sympa, non ?

 

  • L’avion : l’avion est le moyen le simple, le plus rapide et bien évidemment, le plus onéreux. C’est le moyen que nous avons choisi, car tout d’abord nous avions peu de temps, et c’était le plus safe. De plus, nous voyageons avec 3 enfants, plutôt petits, de 9 ans à 3 ans. Et si nous faisons beaucoup de choses avec elles (elles ont quand même grimpé le Cerro Negro malgré la fatigue, la chaleur et le vent), nous ne voulions pas tenter ce périple avec elles. Bref, pour l’avion, de Managua, c’est ultra simple. Et petit plus, c’est quand même vachement sympa d’avoir une vue du pays vue d’en haut !!

Le vol est direct, il dure environ 1h30. Pour les tarifs, comptez :

. 164$ le billet aller-retour par personne.

. 2$ de taxe par siège (ayez de la monnaie avec vous, ils ont peu d’appoint ; cette taxe se paie à un guichet à part).

.  10% du montant des billets de taxe d’aéroport.

Pour les départs nationaux, vous avez un bâtiment complètement à part. L’avion est normalement est un petit avion de 50 personnes environ.

Vous atterrissez donc sur Big Corn Island.

 

Maintenant, quelque soit votre moyen de transport pour arriver sur cette île paradisiaque, vous n’avez plus qu’à profiter à fond de ces vacances de rêves. Farniente, baignade, paysages de rêves, locaux très accueillants, vous ne pouvez pas rater vos vacances !



Et alors, du coup, ces vacances ?


Enfin le départ !!!



Ces vacances, nous les avons attendues un sacré bout de temps. Vous voyez, ces moments où vous savez que vous allez juste vous détendre enfin à fond, profiter de la nature, de la beauté des paysages de cartes postales. Et pour tout vous dire, ce que nous attendions le plus, c’est de pouvoir enfin nous baigner !!

Comme je vous l’ai déjà dit, nous avons décidé de nous rendre sur Big Corn Island en avion. C’était notre 1ère fois à l’aéroport de Managua. En fait, c’est un petit aéroport, donc il n’était pas difficile de se garer et trouver où prendre notre avion. Nous avons laissé notre voiture pendant 48h dans le parking surveillé de l’aéroport, pour un coût de 300 cordobas, soit 150 cordobas pour 24h (4,5$). Ah oui, je ne vous ai pas raconté ! Julien nous a fait une petite blague sans le savoir aussi.

Sur les billets d’avion, il était écrit 13h30. Donc, Julien a calculé pour que nous soyons à l’aéroport 1h30 avant, comme il se fait en règle générale. Comme nous ne sommes jamais sûr du trafic sur Managua, car c’est effectivement une capitale, donc toujours beaucoup de circulation, nous avons aussi prévu une marge d’erreur. Nous voilà donc arrivé à l’aéroport vers 11h. Nous sommes en avance, pendant une petite heure, nous prenons le temps de boire un coup, puis nous cherchons le guichet d’enregistrement, qui se trouve dans un bâtiment à part. Et là, c’est vrai que le personnel nous regardait bizarrement, mais bon, ils nous prennent nos valises, nous donnent nos billets, et là…il nous restait en fait plus de 2 heures à attendre ! Et oui, en fait, l’heure indiquée sur le billet est en fait l’heure d’enregistrement des bagages !!!!! Ahah , c’est pas grave, c’est tellement agréable d’attendre dans un aéroport !!!  Les filles en avaient marre d’attendre, mais bon, le temps passe quand même assez vite, et notre petit avion arrive. Un avion de 50 personnes environ nous attend sur la piste. Place aux enfants en premier ! Et oui, les places ne sont pas numérotées, alors ils appellent en priorité les enfants. Puis le reste des passagers. L’embarquement est assez rapide, le décollage se passe bien. Les filles sont émerveillées, et ont un peu peur en même temps, pas d’inquiétude, tout est normal.

Le plus beau reste à venir : après un vol de moins d’1h30, qui passe très vite, nous arrivons au dessus de la mer ; et là, le rêve, juste là, sous nos yeux. La voilà enfin, cette mer aux eaux turquoises tellement rêvée !!!! Rien que ça, je suis déjà aux anges !

L’arrivée se passe bien. La récupération des valises à l’ancienne, c’est-à-dire qu’ils amènent les valises au milieu de la salle d’arrivée, et chacun récupère sa valise avec son ticket numéroté. Ensuite, à la sortie de l’aéroport, des taxis nous attendent, pour 20 cordobas par personne, soit 0,6$. C’était drôle d’ailleurs, car notre taxi avait le coffre rempli déjà à moitié avec sa sono, et du coup, avec nos bagages, il devait rouler le coffre ouvert…. « Asi es la vida », tranquille, pas de panique. Et parfois, ça fait pas de mal franchement.

Nous arrivons à notre hôtel en 5 min (n’oublions pas que l’île fait tout juste 12 km de long !). Nous avons loué un peu au pif, par rapport aux tarifs surtout, mais nous avons eu une chance folle ! L’hôtel très bien situé, proche aéroport, face à la mer (mais là, j’aurai un conseil à vous donner). Il s’agit d’ un hôtel très mignon, propre, avec un propriétaire (ou un gérant) super sympa .

Alors, je vous ai dit que j’avais un conseil qui me parait important. Il m’est venu en faisant le tour de l’île, quand j’ai vu d’autres hôtels, qui devaient être décrit sur internet comme face à la mer. Seulement, il faut penser à une chose. Qui dit face à la mer ne veut pas dire plage. C´est ainsi qu’en faisant le tour de l´île, j’ai remarqué des hôtels avec effectivement vue sur mer. Seulement, ces hôtels ne donnaient pas accès aux plages. de plus, il y avait même des algues! Et du coup, même si l’île est effectivement petite, nous parlons de vacances où, quand on sort de sa chambre, on a juste envie d’enfiler son maillot de bain, ses claquettes, et d’aller faire un plouf direct, non?

 

Pensez-y lors de vos réservations. Pour ce coup, nous n’avons pas été déçus (pas comme pour Ometepe lol!), mais c’était un coup de chance car on a pris l’hôtel au hasard. Alors je pense que si vous prenez un logement au niveau de la Playa Arenas, certes c’est une plage touristique, mais du coup, vous êtes certains d’avoir accès à de belles plages.

Et sinon, je vous conseille 2 hôtels, de gammes différentes :

  • L’hôtel Paraiso, dont je ne connais pas les prix, mais il fait partie du plus haut de gamme. Pour les tarifs exacts, vous devrez tout trouver avec une petite recherche google.
  • L’hôtel Bellavista, qui est celui où nous logions. Il est de moyenne gamme. L’accueil et le service était pourtant, pour nous, digne d’un haut de gamme. Nous avons payé pour 2 nuits 105$, TVA et taxe de séjour compris, pour une chambre avec 2 grands lits, avec chacun une moustiquaire. Les repas ne sont pas inclus, mais vous pouvez manger sur place le petit déjeuner et le dîner pour pas trop cher. Seul le déjeuner n´était pas servi sur place, mais en marchant quelques centaines de mètres, vous pouvez trouver un endroit pour manger pour vraiment pas cher.
  • N’oubliez pas, nos daily vlogs sur notre chaine et notre vidéo bilan pour voir ce qu’il en est en images et retrouvez toutes ces infos!   https://www.youtube.com/watch?v=_E9-J7rig48


Place à 2 jours de rêves!


Mon rêve a commencé dès notre arrivée en avion pour tout vous dire. Lorsque nous avons commencé à approcher et survoler l’île. Cette eau, d’un bleu tellement … bleu, turquoise même, transparent, j’y pensais depuis des mois, voire des années! Et encore, je ne vous parle même pas de la température de l’eau lol ! Et là, tout devient enfin réalité. 

J’ai eu la chance de partir en vacances bien assez souvent dans ma vie. J’ai visité divers pays, du Mexique à la Crète, en passant par l’Islande. Mais je dois avouer que je ne me suis jamais offert des plages de rêves comme sur les plus beaux livres de voyages. Même au Mexique où, croyez-moi, vous trouverez des paysages de malade, mais j’y ai vécu une année pour étudier. Du coup, j’ai visité, mais je suis tellement loin d’en avoir le tour! Cela fait partie de mes prochaines destinations de rêve, mais en tant que voyageur. D’ailleurs, je vous parlerai peut-être de ma différence  entre touriste et voyageur, mais on est bien d’accord qu’il faut que j’arrête de m’éparpiller, sinon je vais vous écrire mon autobiographie ? (d’un autre côté, c’est déjà prévu hihi, livre commencé il y a quelques mois, je pense le finir dans quelques mois car si vous me connaissez, j’ai des choses à raconter !).

 

Enfin bref, revenons à Corn Island. Nous voilà enfin arrivés dans les Caraïbes. Je ne vais pas vous mentir. Ma seule pensée en atterrissant a été de voir la plage de suite. Et par chance, notre hôtel, comme je vous l’ai déjà dit, est vraiment bien situé, juste en bord de plage. Nous avons juste une route, une toute petite route qui me sépare de mon rêve. D’ailleurs, je ne sais pas encore si je veux me jeter à l’eau ou prendre mon boitier et shooter à tout va cette plage magnifique, d’une eau tellement pure! 

J’ai opté pour le plongeon ? Il faut dire que j’ai avec moi Julien, bien évidemment, et 3 princesses de 3 ans et demi jusqu’à 9 ans qui découvrent les merveilles de la nature! Comment leur demander d’attendre! 

Car il faut savoir qu’effectivement nous avons vécu dans un pays exotique juste avant de venir au Nicaragua. Mais si nous avons retenu énormément de positif de notre expatriation … enfin non, je dis des bêtises, pas expatriation car nous ne sommes plus rattachés à la France, économiquement parlant tout du moins, donc de notre départ de France tout simplement, nous n’avons pas eu l’occasion de pouvoir visiter les pépites de ce pays. Nous sommes partis 2 fois en vacances. La première fois, la ville était franchement pas excitante. La seconde fois, nous sommes allés à Samara. Et, si nous avons passé de très bonnes vacances, nous ne nous serions pas installés là-bas. Et si les plages étaient belles, nous n’étions pas sur des plages de rêves.

Notre 1er jour à Corn Island est donc tout simplement merveilleux. Nous avons profité d’un superbe coucher de soleil, dans une eau bleue transparente, et chaude ? Nous nous sommes baignés, nous avons profité en famille, et nous nous sommes surtout rendus compte de la chance de pouvoir vivre ça! C’est dans ces moments là que nous savons pourquoi pourquoi nous travaillons.

Le 2ème jour est en fait le seul jour plein sur place, alors autant dire que nous voulons profiter à fond! 

Le matin, nous avons voulu prendre des vélos pour faire le tour de l’île.

Mais, à notre grand regret, il n’y avait pas de vélos pour les petites. Du coup, nous avons pris une voiturette de golf. Moins sportif certes que le vélo, mais pour les filles, c’est super drôle (surtout les démarrages de Julien ?).

Nous avons 2h pour faire le tour de l’île, ce qui est plus que suffisant! Pas de souci, nous faisons beaucoup de haltes pour prendre des photos et des vidéos, pour admirer le paysage, sentir l’air tellement doux sur notre visage, pour boire une pipa fria tellement attendue. 

Vous savez, nous sommes à ce moment là dans un état émotionnel absolument génial, à un tel point heureux que l’on ne peut décrire ça avec des mots. Ce sont des moments qui se vivent, tout simplement.

L’après midi était réservé pour ma grande, pour lui faire une surprise. Emma faisait de l’équitation en France. Du coup, elle nous demande depuis 2 ans de pouvoir en refaire au moins une fois. Nous avons alors demandé au gérant de l’hôtel de nous conseiller quelqu’un pour faire un tour à cheval, seuls, pas un truc à touriste. Je ne sais pas si nous avons bien fait de faire confiance, il faut dire qu’il est toujours difficile d’être certain dans ces cas là et surtout en si peu de temps pour vérifier. Mais nous avons profité en tête à tête, mère et fille, pour faire un tour dans les dédales de l’île. Nous avons par la même occasion, d’où mon interrogation ensuite sur les animaux, eu la tristesse de voir un singe dans un arbre … malheureusement attaché par une corde ??? Vous savez, cela fait un moment que je pense sérieusement à me rapprocher d’associations d’animaux et de participer au maximum de mes capacités pour les aider. Mais ceci est un autre débat, et pour le moment je n’ai pas encore eu le temps de chercher et donc de trouver mais croyez-moi, ce jour viendra lol!

Bref, la journée se finit en famille, et dans l’eau bien évidemment. Coucher de soleil, baignade, chaleur de l’eau, rires et fous rires, nouveaux projets qui se dessinent comme à notre habitude, mais surtout, le bonheur d’être tous les 5, la simplicité du bonheur. 

Le dernier jour arrive déjà. Mais pour finir en beauté, je réalise aussi un de mes rêves, ou tout du moins le début car j’attends la suite pour aller jusqu’au bout de ce rêve. Je suis allée faire du snorkelling. J’ai nagé avec les petits poissons au large de l’île, j’ai exploré un ancien bateau coulé au fond de la mer, ce qui a été pour moi assez impressionnant, même si c’était un petit. Bref, malgré un mal de mer assez prenant, je me suis éclatée et j’espère bien le refaire et améliorer ma prise de vue vidéo par la même  occasion. 

Pendant ce temps, la famille s’est baignée tranquillement. Et on en a profité à fond pour tout vous dire! Nous nous sommes baignés jusqu’au dernier moment avant de décoller de notre petite île de rêve, la tête pleine de rêves, le coeur plein d’amour ❤

Il n’en faut pas forcément autant pour être heureux. Pour nous, le véritable bonheur a été de nous retrouver tous les 5, sans penser à quoique ce soit d’autres que nous. Nous nous sommes baignés, nous avons rigolé, nous avons fait le plein d’émotions en tout genre, pour mieux reprendre le rythme du boulot. Car nous savons à ce moment là que le plus difficile et le plus long de cette année au Nicaragua arrive.

 

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *